HAUT : Evergon, The Lion, the Hoop-Handleur and the Clown, de la série Le Cirque: Works by Celluloso Evergonnie, 1990. Diptyque, épreuves instantanées (Polaroid), 233,5 x 112 cm. Collection Ginerny Capital. © evergon Photo : MNBAQ, Jean-Guy Kérouac BAS : Les grincheux chromogènes (Evergon-Ringuette), The Ramboy Historian, de la série Ramboys: A Bookless Novel Series. Works by Egon Brut and Celluloso Evergonni, 2021. Sur une idée originale et avec la collaboration de Karl-Gilbert Murray. Impression numérique à partir d’un négatif noir et blanc 3 ¼ x 4 ¼ (Polaroid), 152,4 x 121,9 cm. Collection de l’artiste. © Evergon-Ringuette

Evergon, de son vrai nom Albert Jay Lunt, est riche d’une carrière de plus de 50 ans. Il l’est aussi de ses nombreux alter ego dont le plus connu et le plus constant reste tout de même celui que l’on voit ici clore le bal, ou presque : Evergon. Son exposition, Théâtres de l’intime, est présentée au MNBAQ.

Joseph Mallord William Turner, Épave sur mer démontée, vers 1840-1845. Huile sur toile, 92.1 x 122.6 cm, © Tate Londres 2017

Le Musée national des beaux-arts de Québec présente Turner et le sublime jusqu’au 2 mai. L’exposition comprend 75 peintures et œuvres sur papier, dont Lumière et couleur – La théorie de Goethe (1843), couvrant les 50 ans de carrière de l’artiste anglais Joseph Mallord William Turner (1775-1851), maître du mouvement romantique et précurseur de l’impressionnisme. Le peintre a toujours su se mettre au service des émotions qu’on peut ressentir face aux forces de la nature, comme nous décrit Sylvain Campeau.