Deux romans graphiques sur le désamour, la douleur, le vide, la paralysie. Félix Crépeau a développé un style singulier où la candeur côtoie la tristesse, où l’image onirique allège un propos parfois très sombre. L’autofiction sert ici à conjurer le sort et à apprivoiser les démons.
Éditions de la Grenouillère
Dans ce deuxième épisode de la série de lectures de poésie d’En toutes lettres, voici Annie Landreville.