Affiche de Rome, crédit : Marjorie Guindon et Marie Tourigny

Depuis le début de la pandémie, Brigitte Haentjens, comme la majorité de ses collègues d’ailleurs, n’avait pas entrepris un projet à grand déploiment comme Rome, offert bientôt à l’Usine C. Mais elle y songeait et y travaillait avec son complice Jean-Marc Dalpé depuis un bon moment. La crise leur aura au moins permis de prendre le temps de mettre en chantier la traduction, l’adaptation et l’idéation du spectacle de plus de sept heures des cinq pièces romaines de Shakespeare.

Le pays des cons. Derrière: Léonnie St-Onge, Caroline Lavigne, Sylvie De Morais- Nogueira et Daniel Parent. Devant: Christophe Baril. Photo: Hugo B. Lefort

Le Théâtre de l’Opsis de Luce Pelletier poursuit sa quête de textes de femmes d’ailleurs toujours aussi pertinents les uns que les autres. La pièce de la dramaturge moldave Nicoleta Esinencu, That moment – Le pays des cons déboulonne avec un humour mordant la corruption et le capitalisme sauvage.