Quelqu’une, photo: Éva-Maude TC

Du 26 mai au 5 juin, le 16e OFFTA présente ses nouveaux espaces de création et d’exploration, des laboratoires qui deviendront les spectacles de demain. C’est l’occasion pour le public d’exercer son oeil fouineur avec ce plaisir toujours renouvelé de la découverte. Dans cet esprit, Camille Paré-Poirier présente Quelqu’une en tentant de raconter une mort ordinaire, celle d’une proche.

Re ; Incarnation, photo: Jean Couturier

Le 16e FTA s’est ouvert avec avec la première visite à Montréal de Qudus Onikeku et de son spectacle Re : Incarnation. En entrevue, le chorégraphe nigérian explique qu’au-delà de la danse, c’est une communauté globale d’esprits artistiques qu’il veut créer depuis Lagos. Il s’intéresse aux idées et aux cultures afin de les laisser s’emparer des corps.

Brigitte Saint-Aubin dans Design intérieur, photos: Le petit russe

Chez Duceppe jusqu’au 20 juin, Brigitte Saint-Aubin refait son Design intérieur. Comme plusieurs d’entre nous en temps de crise, en raison d’un deuil ou d’une pandémie. Les moments charnières nous remettent souvent en question. Ainsi parlait Andromaque de Racine : «Où suis-je? Qu’ai-je fait? Que dois-je faire encore? Quel transport me saisit? Quel chagrin me dévore?»

Errances, photo : Emmanuelle Boileau

Toujours imaginatif, tendance utopiste, l’OFFTA a lieu cette année du 22 au 32 mai à Montréal. Le festival joue avec les dates et les lieux. Les artistes aussi. Sans limites, comme il se doit. Ainsi, les sujets les plus graves ou comiques, poétiques ou irrévérencieux s’entremêlent dans la programmation. Comme la performance déambulatoire Errances de Mélanie Binette qui traite du deuil.