L’École de danse contemporaine de Montréal célèbre ses 40 ans. Plus que jamais, l’institution maintient sa pertinence en tant qu’incubateur de la relève. En témoignera le spectacle Cru d’automne des étudiant.e.s de troisième année du 15 au 18 décembre à l’édifice Wilder.

Sang, photo: Jean-François Hétu

L’Association québécoise des critiques de théâtre – section Montréal (AQCT) a élu la pièce Sang, un texte de Lars Norén mis en scène par Brigitte Haentjens, comme meilleur spectacle des saisons 2019-2021. Les critiques ont dévoilé le nom des huit lauréats de ces saisons très particulières, marquées par la crise pandémique.

Platonov amour haine et angles morts, photos: Vivien Gaumand

Le retour de Platonov amour haine et angles morts à la scène est le cadeau de théâtre parfait en ce temps-ci de l’année. Hors commerce, ajouterons-nous. Il s’agit sans aucun doute d’une des meilleurs spectacles présentés au cours des cinq dernières années à Montréal. Et cette version adaptée par Michel Tremblay ajoute des effets comiques à une mise scène baroque de Angela Konrad avec des interprètes qui possèdent leur personnage à la perfection. Ah Tchekhov, que d’inspiration inspirée en ton nom!

Jonathan, la figure du goéland, photos: Marie-Andrée Lemire

Tout le monde connaît et/ou a lu à l’école Le petit prince et Jonathan Livingston le goéland. Le deuxième texte a inspiré Jon Lachlan Stewart pour créer Jonathan : La figure du goéland présentement à l’affiche de la salle Fred-Barry. L’auteur et metteur en scène a imaginé un spectacle où les limites sont transgressées par des interprètes typiques et atypiques en recherche d’émancipation. Voler de ses propres ailes!

Je suis un produit avec Éric Bernier et Houda Rihani, photos: Xavier Cyr

Pour son premier grand rôle au théâtre québécois, la comédienne marocaine chevronnée, Houda Rihani, partage la scène avec le virtuose Éric Bernier dans une comédie noire, Je suis un produit, écrite et mise en scène par Simon Boudreault. Sujet : le marketing. Le public est avisé que le risque d’incendie est très élevé.

Dominique Leclerc dans i/o, photos: Valérie Remise

Après Post humains, Dominique Leclerc s’est promenée dans plusieurs tribunes pour parler de… posthumanisme. Elle a rencontré des experts de toutes sortes qui l’ont amené à pousser plus loin sa réflexion sur l’avenir. Présentement à l’affiche du CTDA, i/o met en scène ses préoccupations sur ce qui restera de la vie après la vie.

Non de nom, photos : Ariane Plante

Non de nom représente une synthèse du travail de Line Nault depuis 20 ans. C’est à la fois une remise en question de la thématique très actuelle des identités, entre le viscéral et le politique, et un remisage des « identités » artistiques. L’artiste cherche à dépasser les étiquettes et autres idées préconçues qui nuisent au rapprochement entre humains.