Steve Gagnon, photo: Kelly Jacob

Une rencontre surprenante. Le dramaturge Steve Gagnon, la metteuse en scène Édith Patenaude et la comédienne Guylaine Tremblay. Trois grands artistes de théâtre qui sortent de leur zone habituelle pour créer un solo à propos d’une femme qui s’est émancipée au fil des ans et des amitiés. Une enseignante qui redoute la maladie et la solitude. Forte et fragile à la fois.

Joseph Mallord William Turner, Épave sur mer démontée, vers 1840-1845. Huile sur toile, 92.1 x 122.6 cm, © Tate Londres 2017

Le Musée national des beaux-arts de Québec présente Turner et le sublime jusqu’au 2 mai. L’exposition comprend 75 peintures et œuvres sur papier, dont Lumière et couleur – La théorie de Goethe (1843), couvrant les 50 ans de carrière de l’artiste anglais Joseph Mallord William Turner (1775-1851), maître du mouvement romantique et précurseur de l’impressionnisme. Le peintre a toujours su se mettre au service des émotions qu’on peut ressentir face aux forces de la nature, comme nous décrit Sylvain Campeau.

Marie Brassard dans Violence, photo: Marlène Gélineau Payette

Les sept premiers spectacles annoncés par le 15e Festival TransAmériques inscrivent les choix du programmateur Martin Faucher dans un objectif allant clairement à l’encontre des discriminations. Tout en diversité et en hybridité. Six créatrices (Marie Brassard, Louise Lecavalier, Mélanie Demers, Rhodnie Désir, Lara Kramer et Soleil Launière) et un créateur (2Fik) présenteront leur nouveau spectacle du 26 mai au 12 juin prochains. En présentiel, en extérieur et/ou en intérieur si la situation le permet, et en virtuel.

Kaie Kellough vit à Montréal depuis plus de 20 ans. Il a publié un roman, Accordéon, et trois recueils de poésie, dont le plus récent, Magnetic Equator, lui a valu le prestigieux prix Griffin. Publiée sous le titre Dominoes at the Crossroads, la version originale de Petits Marronnages, est finaliste au Grand Prix du livre de Montréal et a fait partie de la première sélection du prix Giller. Un recueil brillant.

Jonathan C. Rousseau et Thierry Clouette, photo: Valérie Sangin

Avec la Soirée de gigue contemporaine virtuelle, la gigue d’art se rend chez le grand public du 18 mars au 25 avril. Rien à voir avec la Soirée canadienne télévisuelle d’autrefois, cependant. Encyclopédie vivante de la gigue, Lük Fleury nous parle des quatre courtes pièces à l’affiche qui nous mèneront des battements d’un cœur jusqu’aux fins fonds de l’espace.